La moitié des tissus sont achetés chez nous, en Belgique. L'autre partie provient d'Allemagne ou des Pays-Bas. L'entièreté répond à un seul critère: la qualité, qu'il ne faut toujours pas aller chercher au bout du monde...

 

Après la phase de création, les modèles sont envoyés à l'atelier Mulieris, à Bruxelles, qui ne façonne qu'en petites ou moyennes séries. Cet atelier emploie une vingtaine de couturiers dans un processus de réinsertion sociale, et il suffit de les voir à l'oeuvre pour comprendre à quel point ils sont passionnés. Un contact direct, convivial et, donc, bénéfique pour le travail.

 

En privilégiant les circuits courts, Pampadampam peut se permettre de rester une marque accessible, avec un minimum d'intermédiaires. Encore mieux: par cette démarche, la créatrice peut garantir que les conditions de travail et les salaires sont respectés.

 

Pampadampam, c'est aussi la participation à des marchés qui plébiscitent l'économie locale, mais aussi le soutien à des projets - notamment via le crowdfunding – qui se démarquent par leur originalité ou la cause qu'ils défendent. Exemple: Les Franjynes, qui crée des nouages, des franges ou des turbans pour les personnes qui ont perdu leurs cheveux pendant le traitement d'un cancer.

 

Enfin, au-delà de la vente en boutique, une autre façon d'envisager le shopping est régulièrement privilégiée, à travers des soirées « Entre nous ». L'idée: des moments d'échange, de partage et de convivialité, lors de ventes à domicile où l'hôtesse de maison reçoit 10% de remise sur les vêtements.

 

Vous l'aurez compris: chez Pampadampam, on ne cherche pas seulement à vous revêtir de pièces originales et colorées, mais aussi à respecter des valeurs qui, particulièrement aujourd'hui, nous semblent essentielles. Tout en restant à l'écoute de vos attentes ou de vos idées pour rendre cette démarche encore plus positive!

 

Pour plus d'infos, n'hésitez pas à vous promener sur la page Facebook  ou à passer prendre le café dans la boutique.